vendredi 12 novembre 2021

Il suffira d'un peu de poussière d'étoile de F.V. Estyer

Titre : Il suffira d'un peu de poussière d'étoile
Auteur : F.V. Estyer
Editeur : Auto édité
Prix : 16€ , 25€ ou 4.99€

Disponible en format broché, relié et numérique

Quatrième de couverture :
Bennett « King » Kingston n’est plus le même depuis que ses rêves sont partis en fumée. De l’homme combatif et joyeux qu’il a été, ne restent que des cendres tièdes et austères. À présent associé d’un cabinet d’agents pour sportifs, il ne vit que pour son boulot.
Adrian Lewis se fait une joie de passer les fêtes avec son père. Rêvant d’intégrer l’université de Caltech pour devenir ingénieur en aérospatiale, c’est l’occasion parfaite de découvrir à quoi pourrait ressembler sa nouvelle vie. Alors qu’il retrouve celui qui a toujours fait battre son cœur, il se confronte à un King froid, abîmé, blasé. Néanmoins, Adrian ne compte pas baisser les bras. Il croit toujours aux miracles de Noël. Et surtout, il croit aux étoiles qui ne cessent de briller. Cette année, si elles ne devaient lui accorder qu’un seul vœu, ce serait celui de rendre le sourire à King. Et il en est persuadé : parfois, tout ce dont on a besoin, c’est d’un peu de poussière d’étoile.

Mon avis :
J’ai rencontré King et Adrian l’hiver dernier sur Fyctia et j’en suis tombée littéralement amoureuse.
Je n’avais qu’une hâte, découvrir la suite et fin de leur romance.

Leur histoire est tellement belle, elle a su me toucher et me faire aimer la romance de Noël.
Eh oui, je suis comme King de ce côté-là, je déteste cette ambiance mais j’avoue que c’est passé comme une lettre à la poste avec ce roman.

Adrian et King se connaissent depuis toujours, King étant le meilleur ami de Jasper, le père de Adrian. Cependant, ils ne sont plus en contact depuis maintenant 7 ans.

Il y a 6 ans, King a tout perdu, enfin c’est ce qu’il croit.
Adrian, lui a grandi, mûri et évolué de son côté en France, mais leur chemin va se croiser de nouveau et la magie de Noël va opérer, surtout quand on a les étoiles de notre côté.

Adrian est déterminé et son amour pour King est tellement fort et puissant. Il est très mature pour ses 20 ans. Il a la tête sur les épaules et surtout il sait très bien ce qu’il veut et désir depuis des années. King a beau être têtu, bourru et déprimé, rien n’arrêtera Adrian. C’est sa seule et unique chance, hors de question de la laissée passer !

Leur histoire était belle, super tendre et surtout très addictive.
Ce couple est une pépite, ils vous feront fondre, c’est obligé. Oui, oui, même le caractère de cochon de King vous fera succomber.

Fred a une fois de plus écrit un roman bouleversant, rempli d’émotions, beau et d’une douceur incroyable.
Sa plume est magnifique, poétique, fluide, et simple à lire. Elle nous transmet les émotions comme peu d’auteures savent le faire, vraiment c’était parfait.

Conclusion :
Savoir ce qu’on veut dans la vie, tout donner pour y arriver, ne jamais perdre espoir ! L’amour triomphe toujours.
Une romance de Noël parfaite qui nous donne envie d’être déjà en décembre et à Los Angeles avec eux !
Je recommande à 100% ce roman ainsi que tous les autres écrits de F.V. Estyer !
 
P.S. : Encore un immense merci à Frédérique pour sa confiance et l’envoi de ce service presse.
D’ailleurs je suis partante et très motivée pour avoir l’histoire de Jasper, alors Fred’, tu sais ce qu’il te reste à faire hein ;)



Extraits : 
« Ce soir, une étoile a chuté. Mais nous espérons qu’elle puisse recommencer à briller. »
 
« Je déteste le mois de décembre, je déteste tous ces gens affublés d’un chapeau de père Noël et cette putain d’ambiance à la con. Magie de Noël, mon cul. »
 
« _ Merci.
_ Pour quoi ?
_ Pour m’avoir fait comprendre que tout n’est pas complètement foutu. Que je ne suis pas complètement foutu. »
 
« Tu as toujours été mon repère. Et peut-être qu’un jour, je finirai par être le tien. »
 
« Je t’aime. Comme je ne pensais pas être prêt à aimer a nouveau. Peut-être même encore plus fort. »
 
« C’est tout ce que je veux. Toi et moi, ensemble. Aussi longtemps que tu me laisseras t’aimer. »

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